jeudi 30 décembre 2010

QUÉBECOR.... FILIALE BRITANNIQUE


''Pour vous maintenir puissant et riches: contrôlez les Médias de tous les Pays...... et ainsi jamais il ne se passera quelque chose qui ne viendra pas de vous''.

Tous les pays du Commonwealth reconnaissent la Reine Elisabeth II comme chef du Commonwealth. Elle est en outre le chef de l’Etat pour Antigua, l’Australie, les Bahamas, la Barbade, Belize, le Canada, Fidji, Grenade, la Jamaïque, l’île Maurice, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Royaume-Uni, St-Kitts, Ste-Lucie, St-Vincent-Grenadines, Salomon et Tuvalu. Les autres pays du Commonwealth ont chacun leur propre chef d’Etat mais mis en place et dirigés par Londres.


D’une part, M. Marc-François Bernier, professeur du Département de communication de l’Université d’Ottawa, a fait ressortir l’homogénéité de l’information produite par le marché. Le marché libre nous donne une information de piètre qualité et peu diversifiée, parce que tous cherchent à servir le même marché, les mêmes gens, le même créneau, le même segment, ceux qui ont de l'argent pour acheter les biens que veulent vendre les publicitaires. (8 mai 2003)


Quebecor:

filiale britannique


Péladeau lance un nouveau quotidien, Le Journal de Montréal, le 15 juin 1964. De format tabloïd, le nouveau journal développe une formule inspirée de la presse populairebritannique, qui repose sur quatre éléments, les quatre S : sexe, sang, sport et spectacles. Au fil des ans, il recrute des journalistes vedettes : certains sont au chômage en raison des vicissitudes de la vie politique, comme René Lévesque

Pierre Péladeau :

Pierre Péladeau et Conrad Black ont tous les deux grandi à Montréal et furent des marionnettes de Londres...... hélas, ce chevaliers pions-morpions des britanniques ont aussi accepté leurs règles de LA LOI D'OMERTA BRITANNIQUE DU SILENCE telle que ''si tu te fais prendre par les citoyens à les duper ou à frauder alors la Couronne d'Angleterre ne pourra t'aider que si elle ne court aucun risque de trahir leurs secrets internationaux......Ainsi, Conrad Black qui s'est fait prendre, doit aussi accepter de faire quelques temps en prison et en plus il ne devra jamais dénoncer ses employeurs royaux au risque de sa vie et de celles de ses proches..... telle est la loi implacable de cette mafia des mafias (la Famille royale de Londres). Des preuves, vous en voulez? Et bien en voici....

Conrad Black était un mondain et l’une des plus grandes satisfactions de sa vie fut d’être admis à la Chambre des Lords à Londres…

Ainsi, pour Pierre Péladeau, l'objectif était de couvrir tout le Québec ... En octobre 2001, il a été nommé à la Chambre des lords, à Londres, ...


Quebecor est une société de communication présente en Amérique du Nord, en Europe, en Amérique latine et en Inde. Elle exploite ses activités par l'entremise de filiales actives dans les domaines de l'imprimerie commerciale, la câblodistribution, les journaux, la télédiffusion, la musique, les livres et la vidéo loisir, les télécommunications d'affaires, le marketing interactif et les portails Internet.


À propos du groupe Schofield Media

Créé en 1999, le groupe Schofield Media édite des revues professionnelles et organise des conférences et des événements aux États-Unis, en Europe et en Asie. La société a des bureaux à Londres, Norwich et Essex (R.-U.) et Boston, Chicago, Seattle, Los Angeles et New York (États-Unis).

Énoncés prospectifs
Dans la mesure où des énoncés formulés dans le présent communiqué de presse contiennent des renseignements qui ne sont pas de nature historique, ils constituent des énoncés prospectifs au sens de l’expression forward-looking statements définie à l’article 27A de la Securities Act of 1933, en sa version modifiée, et à l’article 21E de la Securities Exchange Act of 1934, en sa version modifiée, et de l’information prospective au sens des « règles refuge » de la législation canadienne en valeurs mobilières applicable (collectivement, « énoncés prospectifs »). Ces énoncés prospectifs portent, entre autres, sur les perspectives du secteur d’activité de Quebecor World Inc. (« Société »), les objectifs de celle-ci, ses buts, stratégies, croyances, intentions, projets, estimations, prévisions et perspectives, et peuvent généralement être reconnus à l’utilisation d’expressions comme « pouvoir », « s’attendre à », « avoir l’intention de », « estimer que », « anticiper », « prévoir », « désirer » ou « poursuivre », y compris leur forme négative, leurs variantes ou d’autres expressions semblables, de même qu’à l’emploi du futur ou du conditionnel. De plus, tout énoncé concernant des attentes, des prévisions ou toute autre description se rapportant à des événements ou à des circonstances futurs constitue un énoncé prospectif. La Société a formulé ces énoncés prospectifs en se fondant sur ses attentes actuelles quant aux événements futurs. Les énoncés prospectifs ne tiennent pas compte de l’effet qu’auront des transactions ou d’autres événements annoncés ou survenant après la formulation de ces énoncés. Par exemple, ils ne tiennent pas compte de l’incidence des cessions, des acquisitions, d’autres transactions commerciales, des réductions de la valeur d’actifs ni d’autres charges annoncées ou survenues après la formulation des énoncés prospectifs.

Bien que la Société soit d’avis que les attentes reflétées dans ces énoncés prospectifs sont raisonnables, elle ne peut donner aucune garantie qu’elles s’avéreront exactes. Étant donné que les énoncés prospectifs comportent intrinsèquement des risques et des incertitudes, il faut éviter de s’y fier outre mesure. Certains facteurs ou hypothèses importants sont utilisés dans la formulation d'énoncés prospectifs, y compris, sans s'y limiter, des facteurs ou hypothèses concernant la capacité de la Société de s’affranchir des procédures d’insolvabilité; de plus, les résultats réels peuvent différer considérablement de ceux qui sont exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs.

À propos de Quebecor World

Quebecor World Inc. est un leader mondial de l’imprimerie offrant des solutions complètes à plus-value élevée aux principaux éditeurs, détaillants, catalogueurs et autres sociétés dont les activités reposent sur le marketing et la publicité. Elle est un chef de file dans la plupart de ses principaux créneaux : magazines, encarts publicitaires, circulaires, livres, catalogues, publipostage, annuaires, services de prémédia numériques, logistique, listes d'adresses et autres services à valeur ajoutée.

Quebecor World compte environ 20 000 employés, à l'œuvre dans environ 90 imprimeries et ateliers de services connexes aux États-Unis, au Canada, en Argentine, au Brésil, au Chili, en Colombie, au Mexique et au Pérou.


Fondé en 1849, The London Free Press est la première source de nouvelles et d'informations pour le public de London et du Sud-Ouest de l'Ontario. Quatre ans plus tard, un jeune Anglais vivement intéressé par la politique et le journalisme achetait le journal : sous la houlette du nouvel éditeur et rédacteur en chef, Josiah Blackburn, le Free Press allait devenir un quotidien l'année même où London obtenait le statut de ville (1855). M. Blackburn est resté à la barre les cinquante années suivantes ; ses descendants ayant pris la relève, le journal est resté propriété de la famille Blackburn pendant 145 ans, jusqu'à ce que Sun Media Corporation en fasse l'acquisition, en 1997. Deux années plus tard, Quebecor se portait acquéreur de Sun Media.

Rupert Murdoch

Pierre Péladeau se comparait souvent à Rupert Murdoch.
Il aimait les journaux en papier comme Murdoch.

En 2007, on peut remarquer une grande ressemblance entre les deux empires que
sont News Corp et QUEBECOR. Le magnat Rupert Murdoch a récemment conclu la transaction d'achat
de The Wall Street Journal et il a nommé les nouveaux dirigeants. Mais ce qui retient l'attention est
la nomination à Londres du fils de Rupert Murdoch, James, qui devient le grand patron de toutes
les activités du groupe en Europe et en Asie, ce qui le place en ligne pour remplacer son père.
On remarque dans les deux cas, Quebecor et News Corp, que c’est le fils qui succède au père et que
l’empire fait une transition vers l'Internet. James a fait ses preuves à Londres avec BSkyB, le réseau
de télévision par câble.

Un internaute nous dit: ''... avec Radio-Canada, Gesca et Quebecor se concertent pour décider quelle est la réalité et nous hypnotiser en justifiant l'horreur et le mensonge qu'ils créent ! Québecor était au bord de la faillite à l'hiver 2008 et sa été sauvé par carlysle Investment = Carlylse Group dans lequel Desmarais est ... le fric vient de la Caisse de Dépôt... Videotron c'est mon vendeur Internet = des BANDITS !''

Paul Desmarais père, est président d'honneur du Conseil commercial Canada-Chine. Il est membre du Conseil Privé, compagnon de l'Ordre du Canada, officier de l'Ordre national du Québec ainsi qu'officier de l'Ordre national de la légion d'honneur et commandeur de l'Ordre de Léopold II.

PAUL DESMARAIS, JUNIOR
Avant de se joindre à Power Corporation du Canada (PCC) en 1981, il a travaillé chez SG Walrburg & Co à Londres et chez Standard Brands Incorporated à New York. Paul Desmarais jr est l'un des actionnaires principaux de la compagnie pétrolière française Total SA.La famille Desmarais entretient aussi des relations avec les dynasties industrielles françaises Dassault, Peugeot et Rothschild, entre autres.Il possède un domaine au bord du lac Memphrémagog, près de Magog au Québec.

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